• Des races à viande reconnues (limousine, charolaise, …) pour leurs qualités offrant un éventail de produits finis appréciés par le consommateur.
• Un nombre important d’élevages engagés en signe officiel de qualité apportant toutes les garanties attendues (traçabilité, bien-être animal, et performances techniques).
• Une diversité de productions végétales, fourragères, protéagineuses et céréalières assurant une alimentation régionale de proximité.
• Des filières régionales de commercialisation bien implantées (Organisation de Producteurs, outils d’abattage, grossistes et exportateurs)

Le marché bovin viande

Le type de produit doit répondre précisément à la demande du marché pour être source de plus-value rémunératrice pour l’éleveur.

Le jeune bovin mâle, destiné majoritairement à l’exportation, est un animal  de 14 – 18 mois offrant une viande claire avec des poids de carcasse adaptés (360 à 420 kg). C’est également un produit pour les GMS grâce à la tendreté de sa viande bien  adaptée aux modes actuels de consommation.
D’autres débouchés à l’exportation existent pour des animaux plus lourds à destination de l’Allemagne, la Hollande ou de l’Italie.

Encadrée par une contractualisation des ventes, la rentabilité est essentiellement basée sur les performances zootechniques (croissance, sanitaire, coût de production, …).

La génisse de boucherie, essentiellement destinée au marché français, est une viande rouge avec une gamme de poids de carcasse très étendue avec une exigence forte en matière d’état d’engraissement. L’accès au marché passe par des démarches qualité telles que les  Label Rouge, CCP, marque, Agriculture Biologique.

Deux types principaux sont commercialisés :

• La génisse « jeune » de 19 à 28 mois avec des poids de carcasse de 300 à 350 kg
• La génisse « lourde » de plus  de 28 mois avec des poids de carcasse au-delà de 380 kg. Cette catégorie est bien adaptée pour valoriser des surfaces en herbe.

Des accompagnements développés par les Organisations de Producteurs

Afin de « sécuriser » la phase d’engraissement des bovins, l’ensemble des organisations économiques de la filière bovine  ont développé divers systèmes d’accompagnement qui portent sur l’accompagnement technique, le financement des animaux, des aides à la mise en place ou la garantie d’une rémunération.   
L’ensemble de nos filiales disposent d’outils d’abattage et des débouchés commerciaux pour développer la production de bovins gras sur les territoires de la Vienne  et de la Charente

Profitez de cette opportunité !
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Chambre d’agriculture de la Charente
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